LE SPHINX Porte ouverte sur l'Initiation Egyptienne

 

 

L’auteur, passionné d’égyptologie, s’est toujours senti attiré par cette région du Monde où se développa il y a plus de 5000 ans une énigmatique architecture sacrée. Ses recherches le conduisirent au pied du Sphinx, monument d’essence antédiluvienne, où il s’arrêta un instant pour contempler sa beauté, abîmée par les siècles et la folie des hommes.

 

Symbole funéraire de l’Egypte pharaonique, le Sphinx n’est pas né de la fantaisie d’un roi, fut-il le plus illustre d’entre tous. Placé à l’entrée de la nécropole de Giseh, il ouvre la voie aux Mystères Antiques de l’Initiation égyptienne où il convient de « Mourir pour renaître ». Le Sphinx est un Temple, son culte est solaire et son but est l’Initiation aux mystères de l’éternité.

 

A l’heure où tant de chercheurs se tournent vers les mystères de l’Orient, il est intéressant d’éclairer le visiteur d’un soir sur cette spiritualité véhiculée dans la pierre, qui se souche sur la tradition primordiale, celle sur laquelle toutes les religions s’accordent et se reconnaissent.

 

KHEOPS Secrets et Mystères de la Grande Pyramide

 

 

Il y a plus de 4500 ans, sur la rive Ouest du Nil, entre Abou Roach et Meïdoum, les égyptiens ont édifiés de monumentales pyramides de pierres, dont la plus imposante et la plus mystérieuse fut construite sous le règne de Khéops, pharaon de la quatrième dynastie (2650 avant notre ère).

Son œuvre, considérée par Philon de Byzance comme l’une des sept Merveilles du Monde Antique, continue de défier l’imagination des archéologues et des spécialistes de la pensée égyptienne.

 

Cet ouvrage faisant suite à celui du « Sphinx, Porte ouverte sur l’Initiation égyptienne », suggère et argumente les finalités initiatiques de ces deux monuments. Il ouvre la voie à la compréhension de l’esprit théocratique qui, durant plus de trente siècles a régné sur l’Egypte.

 

LE RAMESSEUM

Le château des Millions d'années de RAMSES II

 


Important centre économique, culturel et religieux, le château de millions d'années de Ramsès II était un point de convergence intellectuelle et de réflexion théologique.

Symbole de la grandeur de l'Egypte, il a été identifié comme le "tombeau d'Ozymandias" (une déformation du mot Ousermaâtrê) dont parle Diodore de Sicile dans sa Bibliothèque historique.

Vaste domaine, ceint d'un haut mur d'enceinte, en son centre se trouvait le temple, entouré de bâtiments pour les célébrations des fêtes, des bureaux administratifs, maisons de prêtres, atelier, entrepôts et un palais où résidait Ramsès lors de sa venue sur le site.

 

SETY 1er les temples sacrés

d'ABYDOS et de THEBES

Célèbre dans l’antiquité pour avoir abrité le tombeau d’Osiris, Abydos était la ville sainte la plus sacrée de l’Egypte pharaonique, et le premier site connu de pèlerinage. C’était la Jérusalem du Monde Antique, où tous ceux qui en avaient la possibilité, vinrent y édifier, soit un tombeau pour leur dernière demeure, soit un cénotaphe, pour être sous la protection du Dieu des morts. De grands pharaons y construisirent de superbes temples aujourd’hui en ruines, tels Ramsès II, Djoser ou Kheops, mais aucun ne pu rivaliser avec celui que Sety 1er fit bâtir en l’honneur du bien-aimé dieu Osiris.

 

Aujourd’hui, les touristes qui visitent l’Egypte et s’arrêtent à Abydos, ne viennent pas pour prier Osiris. Ils viennent pour admirer le fantastique travail des artistes du Nouvel Empire et s’étonner de l’habileté patiente de ces hommes anonymes dont les mains nous ont transmis le legs.

Les pèlerins tardifs visitant les sanctuaires d’Abydos sentiront peut être tout le poids de leur propre patrimoine culturel dans ces témoignages si vivants gravés dans la pierre de ces édifices sacrés.

 

EDFOU Le temple sacré d'HORUS

Tome 1 et 2

 


L’importance d’Edfou s’affirme dès la plus haute antiquité. Situé sur la rive Ouest du Nil, entre Louxor et Assouan, le temple d’Edfou (Behdet, Apollinopolis Magma pour les Grecs) fut dédié à la triade des dieux Horus de Behedet, Hathor et Harsomtous.

C’est l’un des seuls monuments de la « Vallée du Nil » qui permette de bien comprendre la constitution et l’architecture d’un temple égyptien. Il est le plus grand édifice de la dynastie lagide, deuxième sanctuaire le plus important d'Égypte après Karnak, et l'un des temples les mieux préservés d'Égypte.

En 1860, l’égyptologue Auguste Mariette découvre et fait désensabler le temple aux trois quarts enfoui dans le sol, où seuls émergeaient la terrasse, les chapiteaux et les derniers étages du pylône. Comme beaucoup d’édifices religieux de son époque, le temple était enterré sous un ensemble de maisons dont certaines s’agglutinaient sur le toit.

 

LE TEMPLE DE LOUXOR

AMENOPHIS III et RAMSES II

 

 

Durant plus de 500 ans, de la XVIIe à la XXe dynastie, à l’exception d’une courte interruption sous le règne du roi réputé hérétique Akhenaton, le temple de Louxor correspond à la période la plus glorieuse de l’histoire égyptienne.

 

Commencé sous Aménophis III, le temple fut complété par Ramsès II, réhabilité sous Alexandre le Grand, transformé en camp militaire sous la domination romaine, en monastère Copte et fut même partiellement enterré puis couvert d’une Mosquée et d’un village arabe.

Le temple de Louxor  baptisé Ipet Resyt (harem du sud) raconte en image la belle fête de l’Opet, où le dieu Amon venait une fois par an, le 19e jour du 2e mois de la saison de l’inondation (dans la première quinzaine d’octobre), rejoindre son épouse, la déesse Mout (ou Amonette) pour une union sacrée garantissant la stabilité du monde et la gloire des pharaons.

 

HOREMHEB,

dernier pharaon de la XVIIIe dynastie

 

 

Avant de devenir roi d’Egypte, Horemheb fut l’un des conseiller d’Akhénaton et général sous le règne de Toutankhamon. Il succéda à l’éphémère roi Ay (successeur de Toutankhamon) et devint le dernier pharaon de la XVIIIe dynastie.


Relativement méconnu, Horemheb fut un grand bâtisseur. Il fit construire le deuxième, le neuvième et le dixième pylône du temple de Karnak. Il fut l’un des principaux artisans de la proscription des règnes d’Akhénaton et de Toutankhamon. Il fit démonter les édifices d’Akhénaton à Karnak et il mit ses cartouches à la place de ceux de Toutankhamon dans le temple Louxor. Près de Médinet Habou, il réemploya le temple des millions d’années de son prédécesseur Ay.

Horemheb fut l’un des rares Egyptiens à posséder deux tombes. La première est située à Saqqarah. Comme il n’était pas destiné au trône, il se fit construire une grande tombe à proximité de la pyramide d’Ounas (Ve dynastie). Devenu roi, il se fit creuser une grande sépulture dans la Vallée des Rois (tombe KV 55).

DEIR EL MEDINEH

La Vallée des Artisans

 

 

Lorsque le village de Deir el-Médineh est fondé, la civilisation pharaonique est déjà ancienne. Depuis plus de 1500 ans, les habitants de la vallée du Nil forment une population aux caractéristiques culturelles bien établies: à la tête du pays trône le pharaon, héritier des dieux dont il est l’incarnation vivante, placé là pour faire régner l’harmonie sociale et l’équilibre politique.

Après avoir fait construire jusqu'à la fin du Moyen Empire (2040-1640 avant JC) des pyramides, dont l'architecture complexe et imposante se découpait dans le paysage, les rois de Thèbes optent pour des hypogées, de vastes tombeaux creusés et décorés dans les plis des vallées alentours que l'on ne peut voir de l'extérieur.

Le village de Deir el-Médineh fut alors créé ex nihilo pour héberger, avec leurs familles, la communauté d’artisans destinés par les pharaons du Nouvel Empire à réaliser, à Thèbes, les tombes des rois, celles de leurs reines, de leurs enfants et de quelques notables favoris.

 

 

DENDERAH

Le temple ptolémaïque

de la déesse HATHOR

 

 

Quand on cherche à percer les secrets et les mystères de l’initiation égyptienne ; lorsqu’on entre dans le sanctuaire des temples et des tombeaux en s’identifiant aux prêtres qui y servirent aveuglément la cause de leurs dieu ; lorsque profanes et incultes de cette civilisation nous nous imprégnons de ces scènes étranges gravées et peintes empreintes de haute spiritualité, racontant le dialogue d’un roi avec les principes vivants symbolisés par des caricatures que nous nommons des dieux, nous ne pouvons qu’en analyser l’aspect visible et architectural. Pourtant, derrière cette apparente naïveté se cache des rites qui ont traversé plus de trois millénaires et que l’on retrouve chez les bâtisseurs d’aujourd’hui. Les racines de nos religions monothéistes dites « du livre » découlent de la leur et de leur histoire.

 

Le temple actuel de Denderah en est au moins à sa septième reconstruction. Dans ses fondations, au niveau de ses cryptes, se découvrent des scènes incroyables et encore inexpliquées.

HATSHEPSOUT

Le Temple de Deir el Bahari

 

Lorsque l’on parle du temple de Deir el Bahari, on ne peut s’empêcher de penser à cet attentat tristement célèbre perpétré par l’un des plus radicaux mouvements islamistes opposants au régime politique du président Moubarak.

Cependant, ce temple qui n’a rien perdu de son attrait, reste l’un des sites touristiques les plus visités de la région de Louxor.

Outre le fait qu’il ait été édifié à la gloire d’Amon pour la reine la plus illustre de l’histoire égyptienne, et qu’un singulier mystère plane sur la personnalité de son principal architecte, cet incomparable édifice est un livre ouvert sur une époque où l’Egypte renaissant de ses cendres atteignait son plus haut degré de spiritualité.

 

LES RITES FUNERAIRES

La tombe de RAMOSE

 

 

Ramose, Premier personnage du royaume après le pharaon, devenu Vizir dans les toutes dernières années de règne d’Aménophis III, conserva son office sous le règne d’Aménophis IV qui va changer de nom, de dieu et de capitale pour devenir Akhenaton.

Sa tombe creusée dans le calcaire fin de la Vallée des Nobles est un chef d’œuvre architectural de la période pré-amarnienne. Elle informe image après image, du déroulement des rites funéraires de son époque charnière entre le culte officiel des prêtres d’Amon, et celui, novateur, d’Aménophis IV, qui va restaurer celui d’Aton symbolisé par la manifestation solaire, et déplacer durant vingt année sa capitale en moyenne Egypte et qu’il nommera « Akhet Aton ». 

A l’heure où tant de chercheurs se tournent vers les mystères de l’Orient, il est intéressant d’éclairer le visiteur d’un soir sur cette spiritualité véhiculée dans la pierre, qui se souche sur la tradition primordiale, celle sur laquelle toutes les religions s’accordent et se reconnaissent.

 

 

L'ORDRE DU PRIEURE DE SION

POLEMIQUE SUR LA NAISSANCE DU SIONISME

 

 

L’ORDRE
du
PRIEURE de SION
______

Qui sont ces Sages de Sion dont les Protocoles ont fait trembler le Monde depuis leur parution ? Des juifs ? Des antisémites?  Une Secte dangereuse ayant pour objectif la conquête du monde ? Toujours est-il que l’ouvrage dont ils sont les soit disant auteurs n’est pas à mettre entre toutes les mains. Dès sa parution en 1901 ils furent à l’origine de
l’extermination de millions de juifs en Russie. Par la suite, Hitler en fit son livre de chevet et les dictateurs successifs qui
ont sévit en Amérique du Sud s’en inspirèrent largement.

Aujourd’hui encore, il est une arme pour l’Islam dans son combat contre Israël. Quelle intelligence diabolique ? quels êtres pervers ont pu imaginer ce plan catastrophe qui mine nos sociétés ?

Depuis leur parution, nos dirigeants n’ont de cesse de faire correspondre sa fiction avec la réalité, à tel point que ce livre aurait pu être écrit en cette fin de siècle par un historien bien documenté.

 

 

 

LA ROCHELLE

L'ACCUSATION MENSONGERE D'ANTISEMITISME

DE ROBERT MINGAM PAR MICHEL GOLDBERG

 

Le 31 décembre 2015, Michel Goldberg, soit disant Biochimiste enseignant-chercheur à l’Université de La Rochelle, faisait paraitre dans le Uffingtonpost (un journal pro-israélien) un article diffamatoire concernant un mémoire édité confidentiellement en 1993  en (40 exemplaires) par Robert MINGAM, nommé L’ordre du Prieuré de Sion.

 

LES PROTAGONISTES

 

MICHEL GOLDBERG,

 

Bien connu à La Rochelle pour ses violentes réactions contre toute évocation du peuple juif et membre actif du CRIF.  Intégriste pro-sioniste, il se sent  très concerné par la moindre critique d’Israël. Ses recherches portent entre autres sur « La pensée critique pour éduquer, face aux idées conspirationnistes » Débouté lors d’un procès qui l’opposait à ses étudiants auxquels il reprochait d’avoir écrit et joué une pièce de théâtre qu’il considérait à caractère antisémite. Il a écrit plusieurs  livres sur le Judaïsme dont "Ecorché juif",« Invitation à la Torah » « L’antisémitisme en toute liberté » « Une éthique de la fragilité humaine ». Ses actions ont donné écho auprès du CRIF, de la LICRA, et ont inspiré la création d’un comité inter-universitaire de vigilance contre le racisme et l’antisémitisme — initiative qui a influencé la mise en place en 2015 de référents institutionnels dans les universités via des plans gouvernementaux.

Initié à la Franc-maçonnerie en 2012, il en est radié en 2014. 

 

ROBERT MINGAM,

Ingénieur (Génie Climatique) retraité. Egyptologue renommé, membre de la Franc-maçonnerie depuis 1975, 33e degré du Rite Ecossais Ancien Accepté, Grand Conservateur 90e degré du rite Oriental de Misraïm (francmaconneriemisraimite-mingam.fr), Président de l’association Egyptissimo (egyptissimo.com).

 

Réponse publique de Robert Mingam

Accusation infondée de négationnisme

 

Je prends acte avec stupéfaction de l'accusation de négationnisme portée à mon encontre. Je la réfute catégoriquement, avec la plus grande fermeté.

Je n’ai jamais, ni dans mes écrits, ni dans mes propos, ni dans mon enseignement maçonnique ou symbolique, tenu ou cautionné quelque discours que ce soit niant, minimisant ou relativisant les crimes contre l’humanité, et notamment la réalité historique de la Shoah. Je condamne sans réserve tout négationnisme, révisionnisme ou tentative de manipulation mémorielle.

Mon travail, notamment à travers mes publications sur l’histoire de l’Égypte ancienne ou du Rite de Misraïm, s’inscrit dans une démarche pédagogique, historique et ésotérique, absolument étrangère à toute idéologie politique, extrémiste ou antisémite. Que certains cherchent à tordre ou détourner ces travaux pour nourrir leurs propres fantasmes ou leurs rancunes personnelles relève soit de l’ignorance, soit de la malveillance.

Je rappelle que l’accusation de négationnisme, en plus d’être gravement diffamatoire, est pénalement répréhensible en France (loi Gayssot, article 24 bis de la loi du 29 juillet 1881). En conséquence, je me réserve le droit d'engager toute action judiciaire nécessaire contre ceux qui propageraient ou relayeraient ces accusations infamantes.

Je remercie celles et ceux, nombreux, qui connaissent la rigueur de mon parcours, l’honnêteté de mon engagement, et qui savent que mon travail vise à transmettre, non à diviser.

Dans une époque troublée, plus que jamais, la vérité, la probité intellectuelle et la mémoire des victimes des barbaries doivent être défendues avec clarté et sans ambiguïté.

 

Lordre De Sion 1 Pdf
PDF – 2,2 MB 6 téléchargements

MOÏSE L'EGYPTIEN

 

C’est parce que la Bible parle des chars égyptiens et qu’en 1978 une équipe de plongeurs dirigée par Ron Wyatt’s a découvert un certain nombre de roues immergées dans le golfe d’Aqaba depuis 34 siècles, que nous avons ré-ouvert le dossier de l’Exode.

Si les dates proposées pour la fuite d’Egypte par les Hébreux importent peu sur un plan historique, elles prennent tout leur sens quant à l’identité de Moïse qui, avant d’être le guide de tout un peuple fut, toujours selon la Bible, un Prince à la cour de Pharaon.

En comparant les dates et les évènements consignés dans les annales égyptiennes, nous avons trouvé la trace d’un homme dont le profil est identique à celui de Moïse. Celui-ci fut un grand général de l’armée avant de s’investir à la cour et de devenir le premier conseiller de Pharaon. Tout comme Moïse, il disparaît subitement de la scène politique à l’âge de 40 ans, et ses magnifiques tombeaux restèrent inachevés.

 

Moise Livre Merged 3 Pdf
PDF – 36,2 MB 0 téléchargement